école Jacques Prévert LE POINCONNET

Nous sommes à la gare de Châteauroux et nous voyons le train arriver. Nous sommes partis à 9 h 35 et nous sommes arrivés à la gare d’Argenton-sur-Creuse à 9 h 52.

Ceci est l'intérieur  du train (ter) où l'on voyageait. On voit les sièges qui sont confortables avec des accoudoirs. Il y avait dans chaque wagon deux endroits où il y avait une table et quatre siège autour. Au fond, on voit une des portes qui nous faisaient circuler entre les wagons. Accrochées au siège, il y avait des tablettes.

Cette photo montre le train qu’on a pris pour aller au musée de la Chemiserie. Le voyage a duré un quart d’heure.

                                       Voici nos billets de train pour l’aller et le retour.

Ce sont des chapeaux en cuir qui sont brillants et aussi aplatis dans les vitrines  Une personne nous expliquait des choses sur les chapeaux. On les appelle les chapeaux claque, des chapeaux car ils sont haut-de-forme hauts et rigides.

Sofiane : « Ces chapeaux étaient si beaux que je voulais les porter. J’ai bien aimé les chapeaux noirs car ils ont l’air très doux.»

Ce sont des chapeaux de feutre. Tous les poils d’animaux (mouton, yack, chameau, chèvre...) sont utilisables pour la fabrication du feutre.

 
Ce sont des casquettes d'il y a longtemps. Elles sont plates. La casquette devient un accessoire vestimentaire porté par les sportifs. Automobilistes et cyclistes de la belle époque l'adoptent pour son côté pratique et souple.

Les chapeaux qui sont présentés ici sont des chapeaux melon. Ils étaient surtout portés par des hommes mais il en existait aussi pour les enfants. Les chapeaux melon sont en feutre. Après la seconde guerre mondiale, le chapeau melon disparaît. Le chapeau melon reste le symbole de la bourgeoisie et du monde de la finance.

Tout ça, ce sont des chapeaux melons. On les appelle comme ça parce qu’ils ont une forme de demi melon. Les chapeaux melons en paille, c'est pour les enfants. Ils peuvent être noirs, gris ou en paille. Ils commencent à être portés vers 1863.

L’animatrice nous a montré des laines de différentes couleurs. Elles étaient très molles. Elle nous a expliqué que la laine serait dure une fois frottée.

C’est le moment où on devait frotter la laine très vite avec du savon. C’était difficile !

Là, nous étions en train de rincer la laine après l'avoir feutré. Ce n'était pas facile car si on ne la frottait pas assez, ça n'allait pas (c'était raté).A la fin, notre laine devait ressembler à un petit chapeau.

L'atelier sur le feutre s'est bien passé. Nous avons choisi de la laine.... Pour donner la forme aux chapeaux, nous avons pris un pot de yaourt puis on a mis une ficelle autour.

Dès qu'on a bien essoré, nous les avons séché avec un sèche cheveu. C'était génial.

Après les avoir fait sécher, on a découpé autour des chapeaux avec des ciseaux pour qu’ils soient ronds de forme. Après, on les a enlevé du pot.

Cette salle est un jardin volant. Sur ces papiers krafts, on voit des couleurs des deux côtés. Sur ces papiers, on peut remarquer des signes que seule Fernande Evrard-Bougarel comprend. De chaque côté des jardins volants, il y a des couleurs différentes. On ne sait pas en combien de temps elle l’a fait car elle faisait plusieurs choses à la fois.

Dany : « J’ai trouvé ça très bien et très beau ! »

Fernande Evrard-Bougarel a coupé des images de livres recto-verso de personnes connues (La Joconde, Van Gogh) et elle a fait ça. A gauche, ce sont des portraits de chaque côté et ce qui entoure, ce sont des bandes vidéo avec lesquelles elle fait du crochet. A droite, elle a découpé au milieu du papier et elle a vu que ça allait bien donc elle en a fait d'autres et elle a vu que ça faisait un masque.

Ces colliers sont fabriqués avec des boutons qu’elle a assemblés. C’était magnifique :

Ce sont des rosaces ou il y a des photos de peintre. Il paraît que dans ces rosaces, il y a tous les souvenir de tous les peintres. Les rosaces sont faites avec des bandes de cassette vidéo et il paraît que dans chaque petit bout de bande, il y a un petit souvenir.

C’était joli ces petits poissons qui étaient accrochés en train de voler. Ça nous faisait penser que nous étions dans l’eau en train de voler. C’étaient des petits poissons en papier.

Cet arbre raconte l'histoire des oiseaux sans roi. On voit une feuille sur le mur qui dit le titre et           l'histoire de cet arbre blanc. Les choses découpées sur l'arbre sont des oiseaux. Fernande Evrard-Bougarel a découpé des feuilles d'un magazine en forme d'oiseaux.

La jupe que vous voyez est faite avec des cartes routières. A côté de la jupe, il y a la valise de Fernande Evrard-Bougarel. Derrière la jupe, elle a fait une rosace au crochet avec des bandes de cassette vidéo.

Voici des boutons que Fernande Evrard-Bougarel trouve ou achète. Après elle en fait des colliers, des bracelets ... On peut voir aussi une bobine qu’elle a fabriquée avec des bandes de cassettes vidéo. Elle les a emmêlées avec un crochet. Cette bobine peut atteindre plusieurs mètres de longueur. Les boutons sont décorés avec de la couleur, des gravures ...